Je ne veux pas que mes enfants vivent ce que j’ai vécu
Nos souffrances d’enfant nous poussent parfois à aller voir un psychothérapeute, parfois pas. Chacun se débrouille, plus ou moins bien, avec son héritage. Mais en devenant parent à notre tour, la question peut prendre une autre dimension. Surtout quand, comme j’entends souvent dans mon cabinet,
le parent craint que son enfant connaisse les mêmes souffrances que lui :
« Je ne veux pas que mes enfants subissent la même chose que moi, je préfère ne pas parler de ce qui s’est passé dans mon enfance ».
Espérer qu’en évitant le sujet, il cesse d’exister est un fantasme, une illusion. C’est ignorer que les enfants ne sont qu’antennes, sensations, miroirs à capter les non-dits. Oui, même ce qui n’est pas dit se transmet, souvent à travers le corps, produisant des maladies, ou des comportements étonnants, souvent dérangeants.
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Valérie de Minvielle, psychologue clinicienne
J’ai à cœur d’accompagner sur le chemin de leur juste place les femmes qui, à force de vouloir assurer sur tous les fronts, s’épuisent et font l’inverse de ce qui compte pour elles. En m’appuyant sur vingt ans d’expérience professionnelle en tant que psychologue et sur mon expérience de vie, j’ai mis au point une méthode sur mesure qui vous permet de bâtir une vie conjuguant sens et plaisir. Vous repartirez de chaque séance avec une vision plus claire de vos enjeux et des actions concrètes pour avancer.
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